L’obsolescence programmée réduit la durée de vie de nos équipements électriques et électroniques. Parviendra-t-on à augmenter la durée de garantie?
La proposition de loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France veut redéfinir le délit d’obsolescence programmée. Adopté en 2015, sa définition actuelle empêche en effet d’aboutir à des condamnations. Explications
La proposition de loi visant à encadrer l’empreinte environnementale du numérique cherche à augmenter la durée de vie des objets numériques en s’attaquant à la question de l’obsolescence logicielle, de l’obsolescence marketing et en augmentant la garantie légale des équipements. Explications.
L’indice de réparabilité est obligatoire depuis le 1er janvier 2021 en France. Nouvelle arme contre l’obsolescence programmée, il sera prochainement renforcé pour devenir un vrai indice de durabilité d’ici 2024. L’association HOP essaye de porter cet indice au niveau européen.
Le groupement interprofessionnel des fabricants d’appareils d’équipement ménager interpelle les candidats à l’élection présidentielle. Il les exhorte à s’engager « pour une consommation responsable en limitant l’impact environnemental des produits, en soutenant l’innovation, la qualité et le service au bénéfice du consommateur ».
La Fabrique Ecologique vient de publier sa nouvelle note « Comment agir vraiment contre l’obsolescence programmée? ». Des propositions concrètes pour mettre fin à une situation complexe.
Pour sensibiliser la plus jeune génération aux questions environnementales, Natura Sciences s’est associé à Julie Miseray, graphiste – illustratrice, qui propose tous les mois un jeu pour les enfants de 6 à 12 ans. Notre deuxième numéro est consacré à l’obsolescence programmée. Des questions ? Des propositions ? Des félicitations à adresser ? Vous pouvez joindre Julie Miseray…
On entend de plus en plus parler d’obsolescence programmée. Nos appareils seraient-ils programmés à une mort certaine ? Natura Sciences s’est entretenu avec Alain Geldron, expert à l’ADEME pour tenter de répondre à cette question et pour déchiffrer les problèmes que cela soulève. L’enjeu ne reposerait-il pas sur la réparabilité, la qualité des produits et la frénésie d’achat des consommateurs ?
L’ADEME, en concertation avec les éco-organismes, améliore constamment le dispositif de reprise des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE). Aujourd’hui, la reprise d’un ancien appareil est systématique pour l’achat d’un nouveau. Jean-Charles Caudron, expert à l’ADEME, nous explique la marche à suivre pour s’assurer du bon retraitement de ses DEEE et éviter qu’ils ne se retrouvent dans un atelier de retraitement de fortune d’un pays en développement.