Les énergies renouvelables sont une priorité pour les petites îles insulaires non reliées au réseau électrique du continent. Beaucoup ont des projets de développement des énergies renouvelables important. Mais à El Hierro, la plus petite île de l’archipel des Canaries, avec ses 300 km2, les énergies renouvelables sont déjà une réalité.
A l’occasion du 16e colloque du Syndicat des énergies renouvelables à Paris, Ségolène Royal, Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, a remis le trophée des énergies renouvelables à Alpidio Armas, Président d’El Hierro.
Depuis décembre 2014, la consommation électrique des 8 000 habitants d’El Hierro est entièrement couverte par des énergies renouvelables. Un modèle complémentaire à suivre pour tous les territoires insulaires ! Pour y parvenir, l’île s’est doté de 5 éoliennes, d’une puissance totale de 11,5 MW, complété par une centrale hydroélectrique de 11,3 MW.
La station de transfert d’énergie par pompage (STEP) permet de stocker le surplus d’électricité produit lorsque la production éolienne est supérieure à la consommation de l’île. A l’opposé, lorsque la production éolienne est plus faible, l’eau stockée est turbinée pour compenser la diminution de la production éolienne et assurer l’équilibre offre-demande.
La centrale hydroélectrique a remplacé une centrale à fuel et permettra, chaque année, d’économiser 8 millions d’euros de facture de fuel et d’éviter l’émission de 18 700 tonnes de CO2.
« Nous voulons devenir un territoire autonome en énergie et devenir un modèle de développement durable », affirme Alpidio Armas.
Des bornes de recharges pour les véhicules électriques et une unité de biodiesel sont déjà installés. L’île projette désormais d’utiliser d’autres ressources locales comme le soleil et les huiles usagées pour compléter l’offre et développer un parc automobile décarboné. L’île s’est fixé l’objectif de remplacer, à l’horizon 2020, l’ensemble de son parc automobile traditionnel par des véhicules électriques ou utilisant du biodiesel.
bonjour, le sujet éolien étant important et victime d’une absence
d’information, il serait utile de compléter cet article, en effet, rien
ici ne fait rapport du financement de ces éoliennes ni de signaler à
qui profite les bénéfices dus a leur fonctionnement. car si tant est que
cette énergie soit « verte », il n’est pas evident de dire que la
population profite pleinement de ces avantages. Le cas est troublant,
pour exemple, en crête qui est devenue l’eldorado des industriel de
l’énergie, et où, des industriel comme edf se font céder des terrain
pour installer leurs éoliennes par le gouvernement de Grèce sachant que
le bénéfice leur est complétement reversé(à edf) et ce sur 50 ans( 25
ANS renouvelable). les habitant pourrons donc profité pleinement de
cette énergie verte pour un tarif plus élevé qu’une énergie nucléaire, on
pourrait donc croire que l’énergie polluante est ainsi remplacée par
une énergie verte « un peut plus chère ». On pourrait … si et seulement si, en parallèle de
la construction de ces éoliennes ne se construisait des centrales
nucléaires par cette même entreprise. Et oui, car en effet l’intention
de cette entreprise n’est pas de réglé le soucis des énergies polluante,
mais bien de faire fructifié sont capital, et pour ce faire de remplir
un certain cotas d’énergie verte faisant ainsi baisser les taxes dues à
la production d’énergie polluante. en plus simple: plus ils font
d’éoliennes, moins il payent de taxes liée a la production d’énergie
polluante, il peuvent donc produire plus d’énergie polluante en payant
moins de taxe. La solution de l’énergie verte résonne alors comme une
toile d’apparat au service du capital infini, spéculatif et destructeur.
voila
ce qu’il est est de la situation en crête en espérant très naïvement
que le même type d’entreprise ne sévissent pas au canaries.