Chaque jour, suivez les informations qui nous remontent de nos journalistes présents à la COP26 dans un direct sur Natura Sciences. Suivez ce premier jour de mobilisation alors que plus de 120 dirigeants du monde sont attendus lundi et mardi. Toutes les heures sont entendues heure française, il y a une heure de moins actuellement à Glasgow.
19H30 – C’est la fin de ce deuxième jour de live, merci de l’avoir suivi ! Pour les prochains jours, notre live continue en story sur Instagram et à travers des articles, interview et reportages sur le site.
18h30 – Une antilope comme message d’espoir
Simon Guido, un activiste quinquagénaire, chevauche une monture gonflable jaune. « Beaucoup de gens croient que c’est cheval, mais non », explique-t-il. En fait, la monture représente une espèce d’antilope qui aurait disparu à l’état sauvage. Pour lui, venir à la COP26 avec cette fausse antilope est un symbole d’espoir. Simon Guido affirme également qu’il est là dans une démarche positive. « Je suis là pour soutenir la COP », déclare-t-il. Toutefois, il attend que les décideurs engagent des moyens financiers dans la lutte contre le réchauffement climatique.
18h – Des militants regroupés protestent devant le Scottish Event Center où se déroule la COP26
Plusieurs militants et activistes, notamment du mouvement Extinction Rebellion, se regroupent devant le Scottish Event Center de Glasgow. Ils exigent que les dirigeants et autres décideurs présents à la COP26 agissent en faveur « du changement ».
La manifestation se déroule paisiblement. Une dizaine de militants jouent du tambour. A côté d’eux, une militante d’une quarantaine d’années entonne un chant. Elle fait partie d’un groupe qui porte une banderole sur laquelle est inscrite « combien de policiers pour arrêter le réchauffement climatique ? ».
15h31 – John Kerry conclut la réunion sur le Global Methane Pledge à la COP26
L’envoyé spécial chargé du climat John Kerry félicite les engagements pris « alors que ce n’est que le deuxième jour de la COP26 ». Il salue le fait que des banques privées, comme le groupe BRD Société Générale, s’engagent aux côtés de cette initiative. « On peut y arriver » en conjuguant les efforts des politiques et du secteur privé affirme John Kerry.
15h10 – La République démocratique du Congo affiche ses ambitions
Le président de la République démocratique du Congo Denis Sassou-Nguesso prend la parole. Il indique que l’engagement mondial pour réduire les émissions de méthane, responsable de 25% du réchauffement climatique, est essentiel et répond aux attentes des populations mondiales. La République démocratique du Congo fera en sorte de réduire les émissions de méthane dans le secteur de l’énergie et de l’agriculture. « Le secteur des déchets sera neutre en émissions de gaz à effet de serre d’ici 2025 », annonce le président congolais.
« L’Afrique est à la fois l’un des plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre de la planète et l’un des continents les plus vulnérables face aux effets du réchauffement climatique ». Il rappelle également qu’aucun accord international n’oblige l’Afrique à s’engager dans quelconque décision internationale. Ainsi, l’engagement africain traduit une volonté certaine d’agir. Le représentant congolais annonce aussi la volonté de s’engager dans une transition énergétique pour sortir de la dépendance aux énergies fossiles.
14h56 – 30% de la Colombie sera protégée en 2022
Le président colombien Ivan Duque leur succède. « Je profite de cette occasion pour rappeler l’importance de ce sommet et celui de la neutralité carbone », indique-t-il. Le président annonce que dès l’année prochaine, 30% du territoire colombien – espaces maritimes compris – deviendraient des aires protégées. « Nous n’attendrons pas 2030 pour le faire », se félicite le chef d’Etat. « Atteindre la neutralité carbone demande un effort commun, et cette initiative impulsée par les Etats-Unis en est une », conclut Ivan Duque.
Abdelhamid Ddeibah, premier ministre libyen s’adresse à Joe Biden pour lui assurer qu’il pourra compter sur « la coopération de la Libye ».
Le président équatorien Guillermo Lasso. « Notre pays est petit, tout comme nos émissions de gaz à effet de serre. Mais notre engagement pour lutter contre le réchauffement climatique est énorme », assure-t-il. « Nous avons tous des idées et des capacités pour faire face au défi qui nous est commun. C’est pourquoi notre pays est fier de rejoindre cet engagement qui nous demande de réduire de 30% les émissions de méthane d’ici 2030 », conclut Guillermo Lasso.
14h30 – 80 pays signent le Global Methane Pledge
L’envoyé spécial chargé du climat John Kerry ouvre un nouveau sommet de dirigeants au sujet du Global Methane Pledge. Cet engagement mondial vise la réduction de 30% des émissions de méthane d’ici 2030. Ursula Von der Leyen rappelle que le méthane est largement plus problématique que le CO2 en termes de réchauffement climatique. Selon elle, ce gaz est « l’un de ceux que l’on peut réduire le plus vite ». 80 pays se sont déjà engagés à réduire leurs émissions de méthane rappelle la présidente de la Commission européenne. L’Union européenne devrait encourager les Etats à maîtriser leurs émissions de méthane. « Ainsi, on pourrait éviter 200.000 décès » par an dans le monde, indique Ursula Von der Leyen.
Joe Biden prend à son tour place au pupitre. Il rappelle qu’il est urgent de réduire de 30% les émissions de méthane d’ici 2030. Le président américain indique que si les pays signataires – bientôt une centaine – réduisent effectivement leurs émissions de méthane, cela pourrait avoir une influence positive à court terme. Joe Biden annonce que les Etats-Unis engageront des sommes pour réduire les émissions de méthane, notamment dans l’agriculture.
Justin Trudeau prend place. Le premier ministre canadien ajoute que le méthane est responsable de nombreux cas d’asthme du fait de la pollution qu’il engendre. Le Canada s’engage à réduire de 75% les émissions de méthane liées à l’exploitation du pétrole et du gaz. « Nous nous engageons à réduire les émissions de méthane issus de l’agriculture et des sites d’enfouissement. C’est le moment d’agir pour des actions climatiques comme celles-ci. Vous pourrez toujours compter sur le Canada pour faire sa part », conclut Justin Trudeau. Le président argentin Alberto Fernandez appelle également à la cohésion et à la coopération entre les Etats en faisant référence au Pape François.
Le premier ministre vietnamien Pham Minh Chinh et le premier ministre japonais Fumio Kishida prennent également la parole pour affirmer leurs engagements.
13H – L’UNESCO alerte sur le manque d’enseignement du changement climatique
Selon les dernières statistiques de l’UNESCO issues de 100 pays, seuls 53 % des programmes scolaires dans le monde font référence au changement climatique. Lorsque le sujet est mentionné, il se voit presque toujours relégué au second plan. Moins de 40 % des enseignants interrogés par l’UNESCO et l’Internationale de l’Éducation se sentent capables de transmettre des connaissances sur l’urgence climatique. Seul un tiers d’entre eux estime pouvoir expliquer les effets du changement climatique sur sa région ou sa ville.
L’UNESCO organisera avec le Royaume-Uni et l’Italie, co-présidents de la COP26, l’événement « Ensemble pour demain : éducation et changement climatique« , première réunion conjointe de ministres de l’Environnement et de l’Éducation. Elle se tiendra le 5 novembre à Glasgow pour lancer une stratégie en matière de transmission de connaissances concernant le développement durable et le changement climatique
12H30 – Corinne Le Quéré explique le réseau pour évaluer les stratégies climat étatiques
La présidente du Haut Conseil pour le climat, Corinne Le Quéré explique à Natura Sciences l’intérêt du lancement du nouveau réseau international des conseils climat. Cet outil permet d’évaluer les stratégies climatiques des gouvernements, afin d’établir des recommandations dans leurs politiques environnementales.
Davantage d’informations dans notre article Corinne Le Quéré présente un réseau pour évaluer les stratégies climat des États
12H00 – Barbara Pompili au Pavillon France à la COP26
Barbara Pompili s’est rendue au Pavillon France de la COP26. « Je suis persuadée, qu’ensemble, avec des efforts communs, nous pouvons atteindre notre objectif, celui de défendre la biodiversité« , a déclaré la ministre de la Transition écologique.
11H50 – John Kerry défend la position des États-Unis
John Kerry, l’envoyé spécial des Etats-Unis pour le climat s’exprime devant la presse sur l’engagement climatique. Hier, Joe Biden s’excusait de la sortie par Donald Trump de l’accord de Paris.
11H – Une heure de queue pour rejoindre la blue zone de la COP26
Cela fait plus d’une heure que nos journalistes Chaymaa Deb et Léo Sanmarty font la queue pour rentrer dans l’enceinte de la COP26.
10H – Plus de 100 pays s’engagent contre la déforestation
Plus de cent pays abritant 85% des forêts mondiales vont s’engager aujourd’hui à enrayer la déforestation d’ici 2030. Parmi les forêts concernées se trouvent la forêt boréale du Canada, la forêt amazonienne au Brésil et la forêt tropicale du bassin du Congo. Cette initiative bénéficiera d’un financement public et privé de 19,2 milliards de dollars soit 16,5 milliards d’euros. Elle pose un jalon important pour parvenir à l’objectif de limiter le réchauffement climatique à +1,5°C.
Parmi les signataires figurent le Brésil et la Russie, pays pointés du doigt pour l’accélération de la déforestation sur leurs territoires, ainsi que les États-Unis, la Chine, l’Australie ou la France. Les patrons de plus de 30 institutions financières comme Aviva ou Axa vont de leur côté s’engager à ne plus investir dans les activités liées à la déforestation, selon Downing Street.
Mais pour des ONG comme Greenpeace, l’objectif de 2030 est beaucoup trop loin dans le temps et donne ainsi le feu vert à « une décennie supplémentaire de déforestation ». « Les peuples indigènes demandent que 80% de la forêt amazonienne soit protégée d’ici à 2025 et ils ont raison, c’est ce qu’il faut faire« , a insisté Carolina Pasquali, responsable de Greenpeace au Brésil. Tout en saluant ces annonces, Tuntiak Katan, de la Coordination des organisations autochtones du bassin de l’Amazonie (Coica), a indiqué que la manière dont les fonds seront effectivement dépensés sera surveillée de près.
Davantage d’informations dans notre article Plus de 100 pays s’engagent contre la déforestation
10h – Nous sommes le mardi 2 novembre, le live reprend !
Ça c’est passé pendant la nuit
20h30 – Greenpeace rassemble des jeunes du monde entier
Des jeunes du monde entier ont témoigné, en début de soirée, des conséquences du réchauffement climatique dans leur pays. Parmi eux, une activiste MAPA alerte sur la situation de la Namibie. Connaissant un épisode de sécheresse historique, le pays n’a reçu aucune pluie durant ces dernières années.
19H35 – C’est la fin de ce premier jour de live, merci de l’avoir suivi et retour demain à 10H !
19H30 – Le Réseau Action Climat fait le bilan de la journée
Le Réseau Action Climat regrette la mise à l’écart de la société civile. Elle ne peut en effet pas accéder aux salles de négociations ni aux discours des dirigeants politiques.
19H00 – Greenpeace dénonce l’attitude de Macron
Après le discours d’Emmanuel Macron, Clément Sénéchal, porte-parole climat de Greenpeace dénonce la « posture de donneur de leçons » du président français. Alors que la France a été récemment condamnée par le tribunal administratif de Paris pour inaction climatique, il juge cette position « obscène« .
18H30 – L’Inde vise la neutralité carbone pour 2070
L’Inde s’est fixé comme objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2070, annonce le Premier ministre indien, Narendra Modi. « D’ici 2070, l’Inde atteindra l’objectif de zéro émissions nettes » de carbone, prévoit-il. L’annonce de nouveaux objectifs climatiques de l’Inde, quatrième émetteur au monde de gaz à effet de serre derrière l’Union européenne, était très attendue. Et Narendra Modi a précisé d’autres objectifs visant à lutter contre le réchauffement climatique. L’Inde accroîtra ainsi d’ici 2030 « ses capacités énergétiques non fossiles » de 50 GigaWatts à 500 GW et elle assurera d’ici la même année 50% de ses besoins en énergie par des sources renouvelables. « D’ici 2030 l’Inde réduira l’intensité carbone de son économie de 45%« , a également déclaré Narendra Modi, accroissant ainsi de 10 points de pourcentage ses promesses initiales de réduction de ses émissions de CO2 rapportées au PIB par rapport à 2005.
Davantage d’informations dans notre article COP 26: l’Inde promet la neutralité carbone pour 2070
18h00 – Emmanuel Macron prend l’eau
Suite à leur action de ce matin, les militants d’ANV-COP21 ont jeté à l’eau le portrait d’Emmanuel Macron.
16h27 – Emmanuel Macron veut se poser en leader climatique à la COP26
Pour Emmanuel Macron, il faut une nouvelle ambition et de la solidarité pour atteindre l’aide de 100 milliards de dollars par an au plus vite. « ll faut retrouver l’ambition des 1,5°C et crédibiliser ce chiffre« , prévient le président, alors que la « trajectoire actuelle nous amène vers 2,7°C« . Emmanuel Macron appelle à avoir « suffisamment d’engagements d’ici la fin de la COP26 pour nous mettre sur la route des 1,5°C« . Le défi sera aussi de mettre en œuvre ces engagements. Le président appelle les plus gros émetteurs dont les stratégies nationales ne sont pas conformes aux 1,5°C à prendre de nouveaux engagements d’ici au 12 novembre. En plus, « nos accords commerciaux doivent refléter notre ambition climatique« , estime-t-il.
16h13 – Le président seychellois Wavel Ramkalawan déplore la destruction des espaces naturels par l’homme, notamment par les touristes, dans son archipel. Il rappelle le désarroi des jeunes qui se demandent quand est-ce que les dirigeants vont les écouter et activement réagir pour préserver leur futur. « Les Seychelles sont victimes, au même titre que d’autres pays insulaires en développement. J’ai peur que mon pays perde toutes ses activités économiques sous l’effet du réchauffement climatique », alerte-t-il. « Nous devons agir immédiatement. Faisons en sorte que la COP26 soit le moment déterminant », implore le président seychellois. « Nous sommes tous dans le même bateau : grands, petits, riches ou pauvres. »
15h55 – Le président des États-Unis Joe Bien arrive au pupitre. « C’est la décennie qui va tout décider », assure-t-il. « C’est la décennie durant laquelle nous devons prouver que nous sommes capables de tenir le cap de la réduction du réchauffement climatique. Le réchauffement climatique est déjà en train de ravager le monde », affirme le président américain. Dans le même temps, il voit dans le défi contre le réchauffement climatique une grande opportunité de créer des emplois. Il croit au développement d’emplois liés aux véhicules électriques ou au développement d’énergies « propres ». « Nous voulons montrer que les États-Unis ne sont pas simplement de retour autour de la table, mais que nous agissons activement », déclare Joe Biden. A l’instar de Mario Draghi, lui aussi appelle à la coopération avec le secteur privé.
Joe Biden souhaite également développer l’aide apportée aux pays en développement dans la lutte contre le réchauffement climatique. Il annonce qu’un dispositif devrait être mis en place aux alentours de 2024. « On peut le faire, alors faisons le. Que Dieu vous bénisse tous et que Dieu bénisse la planète », conclut-il.
15h51 – Le président mauritanien Mohamed Ould El-Ghazouani affirme que son pays pourrait atteindre la neutralité carbone en 2030. La Mauritanie annonce investir dans le développement de l’hydrogène vert. Le président appelle les entreprises à soutenir cette initiative. « La Mauritanie fera tout pour accélérer la transition écologique plus que jamais nécessaire », affirme le présient.
15h44 – Le premier ministre espagnol Pedro Sanchez prend la parole. Il rappelle l’importance de l’investissement dans les énergies renouvelables et l’importance de réduire la part des énergies fossiles. L’Espagne devrait allouer aux pays les plus défavorisés une aide de 350 millions d’euros en faveur de l’adaptation au changement climatique.
14h48 – Elizabeth Wahtuti, une jeune kényane de 20 ans et activiste climatique, est venue alerter les dirigeants de la situation critique dans laquelle le réchauffement climatique pourrait plonger des millions d’Africains. Elle rappelle que son pays n’est responsable que de 0,5% des émissions de gaz à effet de serre.
14h36 – Le premier ministre italien Mario Draghi prend la parole. Il rappelle que « le réchauffement climatique a des conséquences sur la sécurité mondiale ». Il appelle les banque privées, et notamment la banque mondiale, à contribuer à l’effort financier pour solutionner la crise climatique. Mario Draghi évoque également les actions des jeunes de Youth for climate à Milan. Il affirme que les dirigeants doivent apprendre à les écouter et à apprendre d’eux.
14h25 – La première ministre de la Barbade Mia Mottley dit qu’il est nécessaire que des investissements massifs soient faits pour lutter contre le réchauffement climatique.
14h17 – « Nous avons l’opportunité de créer un meilleur monde » rappelle l’écrivain et rédacteur scientifique David Attenborough. Il dit à quel point il est urgent de faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. La concentration atmosphérique de CO2 s’élève aujourd’hui à 414 ppm et continue d’augmenter. L’audience l’applaudit chaleureusement à l’intérieur de la salle des négociations. Justin Trudeau, le premier ministre canadien approuve son discours.
14h10 – Le prince Charles s’adresse aux chefs d’Etats présents à la COP26. Il appelle les dirigeants à trouver des solutions concrètes pour « sauver le futur des jeunes ».
12h55 – Le président turc Recep Tayyip Erdogan ne viendra finalement pas à la COP26, invoquant des motifs de « sécurité« , rapporte l’agence de presse étatique Anadolu. « Nous avons renoncé à nous rendre à Glasgow quand nos demandes n’ont pas été satisfaites. Il n’en allait pas seulement de notre sécurité, mais aussi de la réputation de notre pays« , a déclaré le président turc à des journalistes, à bord de l’avion présidentiel lors de son retour du G20 à Rome.
12h45 – Le président colombien explique ses engagements contre la déforestation et pour compenser les émissions de gaz à effet de serre du pays. La Colombie concentre 6% de l’Amazonie sur son territoire.
11H45 – Greta Thunberg arrive. Peu de gens ont réalisé sa présence pour le moment. Elle n’a pas encore fait de grande prise de parole.
11H30 – Nos journalistes sont entrés. La présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen est déjà présente pour défendre les engagements climatiques européens, à savoir une baisse de 55% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050. Photo : Léo Sanmarty / Natura Sciences
11H – Attendu à la COP26, Erdogan rentre en Turquie. Après le sommet du G20 à Rome, le président turc Recep Tayyip Erdoganest est rentré en Turquie dans la nuit de dimanche à lundi, a rapporté l’agence de presse étatique Anadolu. Elle ne précise pas si le président turc prévoit toujours de se rendre en Ecosse. La Turquie – dernier pays à avoir ratifié l’Accord de Paris sur le climat – avait indiqué que M. Erdogan se rendrait lundi à Glasgow. Interrogée, la présidence turque n’avait pas répondu lundi matin aux sollicitations de l’AFP.
10h30 – Nos journalistes Léo et Chaymaa font la queue pour rentrer dans le centre. Dans un hôtel, devant le site de la @COP26, une petite fille tient une pancarte « Save our Planet ».
9H45 – Emmanuel Macron est attendu à la COP26 pour un discours à partir de 15H15 heure française. Les militants l’attendent de pied ferme ! Ils dénoncent sa responsabilité dans l’inaction climatique.
9H45 – Nous sommes le 1er novembre, c’est le début de ce live !